c'est partie! je vous donne les trois premiers chapitre ( c'est un tome deux dans le cas ou il y aurait des questions...)
Un reve en enfer
1) la prairie verte des mortsLe monde a sombré dans le chaos, la corruption et la mort depuis que la guerre des deux immortels a eue lieu. Mais une chose est sur, l'espoir est restée dans ce monde des ténèbres.
Au-delà de la cité des merveilles, appelé autrefois l'Olympe, bien au-delà même des milliers et des milliers de mètres qui nous séparent de la terre, un curieux animal dénué de toute réflexion, intelligence n'importe qu'elles soient, regardait curieusement son reflet dans une eaux cristalline d'une limpidité extrême.
On pourtant à dire qu'il s'admirait devant son fragile miroir, il chassait.
Comme tout les être vivants d'un autre monde, il survivait. il ne lui suffit pas plus d'une minute pour se faire écraser violemment par une patte plus grosse encore qu'un éléphant tout entier.
La langue rappeuse de cet être poilus leppa rigoureusement l'eau transparente qui lui permettait d'assurer sa propre survie.
Elle goutait scrupuleusement chaque parcelles de vie qui lui passait par sa gueule béante. Il lui fut obligé de se pousser sur le coté, sa liberté presque acquise, il lui fallait pourtant respecter plus fort qu'elle.
Elle se poussa avec résignation. Le dominant du groupe, nommé Zabrack, pour cet affront lui mordit méchamment sa croupe. Bien qu'elle se poussa avec un soupir, il continua tout de même à la mordre et alla jusqu'à lui mettre un coup de patte en plein milieu de la face de celle-ci. La rébellion aurait été inutile. La mutinerie non plus, tant ce mal-là était fort puissant et avait un certain niveau d'expérience qui le faisait leader, qu'elle était rapide, forte dans l'âme et dans ses membres.
On eue dit qu'il s'agissait là du plus rapide Adrynerius de Rutha, qui bien étant également le nom de ce pays charmant, était tout aussi sauvage que ces étranges créatures qui dominaient cet endroit.
Ils buvaient tout les deux. Repus et totalement ivre de la vie, notre petite Thallyas se retourna avec ses joyeux compagnons pour s'amuser un peu après la raclée qu'elle venait de prendre. Pelage soyeux d'une panthère noire à auréole bleu ancré noire, tête chevaline et pattes de lion, son corps à dus sans doute encore bien changer.
C'était pour elle le moment idéale pour purger son esprit des évènements récents qui avaient eue lieu.
Dans une autre vie on eue dit qu'elle était chevalier, héroïne puis amante du vide.
Maintenant elle resplendissant ce qu'elle aimait tant observer: la mort.
Elle se tenait ici, face au vent, prêtant une oreille au vent pour lui apporter des nouvelles du temps. Sa crinière abondante fouettait ce courant d'air et claquait comme une chambrière. Qu'elle ivresse! S'emporter ainsi contre la brise et voler avec elle... elle se lassa de ne plus bouger, elle commença à trotter bien qu'elle n'eut pas le droit de s'enfuir du troupeau...
elle passa à un galop flottant, rêveuse, insouciante, elle rattrapa sans aucun mal quelques oiseaux qui s'étaient perdus. Elles les auraient pourchassés si elle l'aurait voulut, mais l'aventure l'attendait là bas...
2)rappels toi des années passées...arrivée devant ce que l'on appelait une foret dans son étrange pays, là ou les arbres touchaient le ciel et l'épaisseur des pins étouffaient les petits mammifères, elle ralentit son allure pour y observer les recoins. Son farouche instinct lui criait de rester sur ces gardes car le corps d'une déesse reposait ici. Elle le savait, c'était inévitable, dalleur les Andrynerius sont fait pour servir les dieux. Ils reconnaissent ceux-ci même leur corps réduit à poussière.
Thallyas avait l'habitude de venir ici, ses pattes avaient fraichis la terre ici et là.
Délicatement, elle se posa sur ce bout d'herbe qu'elle prenait soin d'entretenir grâce à un étang qui était à deux pattes de là.
Elle poussa un soupir et s'endormit seulement quelques instants pour ce rappeler son passé.
La guerre entre les ombres et les nuages, tous ces jeunes chevaliers déchu... il restait bien entendu son meilleur ami, Shaiyun de vivant, mais si elle venait le voir, la reconnaitrait-il? Avec tout ces poils, ces kilos, cette tailles, cet attitude bestiaire de vouloir se battre contre plus fort qu'elle, sauf quand la marge est vraiment trop loin...
non, vraiment, la peur aurait vite fais de le prendre.
Son repos finis, Thallyas se mis debout vers le soleil...
Les arbres lui firent claquer sa crinière, son poil se déploya, laissant même a découvert ses crocs et griffes. Un léger frisson venait envahir tout son corps. Un immense château apparut devant elle... cela lui rappelait vaguement quelque chose, mais trop bestiaire peut-être pour se rappeler de son age mur, insouciante du danger qu'elle allait s'exposer, elle s'avança vers cette ville, quatre pattes, poilus mais avec un léger souvenir du passé.
À son allure la plus fringante elle se déplaça, aussi silencieuse qu'une louve chassant, aussi traitrise qu'une tigresse, aussi rapide que la foudre elle s'élança vers son imagination.
Lorsqu'elle fut arrivée à son point, tout devant elle était d'un telle beauté qu'elle en eue le souffle coupé!
Ce château qui apparaissait au loin grand, grisonnant, et puissant à la fois n'était en fait que décombres, poussière, noirceur et mélancolie.
C'était si magnifique! Des cadavres ici et là gisaient d'une bataille qui, jadis aurait été sanglante. La marque de monstre presque aussi grand qu'elle se tenait ici et là, sur les gondes, murs et sols, de toute évidence elle n'eut aucun mal à reconnaitre de quels assassins il auraient pu s'agir. Bien sur des trolls, morgols, mais aussi ces chevaux noirs qui vous arrachent la chairs et vous font devenir fous aux conséquences de la douleur que l'on éprouve. Même leurs ailes étaient purement magnifique malgré la noirceur dont cela faisait preuve. Des serviteurs d'Hadès avaient semés la terreur ici, dans ce château... la bestiole ne pus se réprimander un flash, elle même ignorait ce que cela était, cela faisait partie d'un immense pouvoir qu'on lui avait remis afin qu'elle puisse établir un monde intermédiaire entre la lumière et l'ombre. La lumière n'étant plus, elle devait se résigner à vivre sous le commandement d'un mal Adrynerius naïf et possessif comme pas d'autres. De plus les femmelles n'avaient pas le droit de régner sur le troupeau, faute de forces et d'impulsivités. Il n'y avait pas de période de rut, juste un consentement, question de respect ou de non respect, le couple le plus vivant et fort règne sur toute la bande.
Il n'y a aucun comportement animal ni même humain, juste mystérieux. Ce que l'on veut quand on le veut avec consentement du chef.
Pourquoi se rappeler de sa famille tout de suite alors que la beauté du site émerveillait même un ornithorynque aveugle? Thallyas pris la peine de se déplacer, quelques pas vers la tourelle là bas... un vague souvenir lui rappelais d'étranges bêtes à l'intérieur de barreaux symétriques.
Un vague dégout caressa doucement sa crinière lourde. Sa mémoire ne lui revint pas pour autant, elle s'avança bien plus loin, elle se trouva confronté au prisons. À son roulement de surprise, elle huma l'air avec attention. L'odeur d'un ami, seigneur, apparaissait ici et là, elle eue enfin son flash back:
arrêtée pour tentation de mutinerie contre la couronne, Thallyas ainsi couché dans la
paille désagréable de l'époque, attendait avec impatience l'arrivé d'un secours quelconque. Seiya arriva avec une corde et la fit grimper c'est là qu'un soldat tentât de les retenir, un loup et un tigre, se fit flou ils chargèrent les autres soldats du roi qui arrivèrent. Alors il arriva, beau comme la lune au milieu de la nuit, céleste comme un étoile, grand comme l'olympe... le soldat se fit tuer puis du flou... un autre flash back revenait...:
une bagarre sanglante, suspendus dans les airs, elle ne savait plus ou elle était, un geste et elle était sur de tomber.. sombrer, elle décida de bouger, mais elle était paralysée! qu'aurait elle put faire si ce n'était qu'observer ce magnifique spectacle opposant le soleil à la nuit? Rien d'autre. L'un l'aimait, ce qui était ironique pour un dieux, le mot apprécier vint sans aucuns gènes dans sa mémoire.
L'autre ne l'appréciait pas mais l'admirait pour sa dévotion, et pour ... être sa création... un vulgaire pantin! aussi, quelque chose dont on se sert pour attirer l'attention d'un autre.
Elle tombait d'un coups puis réapparut sous les yeux inconstants d'une mère Adrynerius
pour être presque tout de suite adulte et vivre comme tout les membres du troupeau à attendre le mâle qui viendra pour créer une famille avec elle. Son début d'existence était plutôt envieux, amour maternel, amitié mais pas amour...
3) le soulèvement d'un espoir
son paysage se décomposa et elle se trouva né à nez avec une horde de gobelins. L'effet fut immédiat, une lance poisseuse roula à ses cotés, pendant qu'elle raclât sa gorge hérissa ses poils et parut plus impressionnante, un lance ce figeât dans son arts( voir la poitrine d'un cheval) droit. Elle pivota sur elle même, rattrapé de justesse par un troll à peine plus grand qu'elle, elle sauta par-dessus mais se fit blesser par la hache de celui ci. Elle tomba avec un grand bruit de l'autre coté du corps du prédateur qui se retourna pour l'achever... toute cette viande fraiche donna aux gobelin et aux trolls l'envie d'en finir encore plus vite.
Alors que le coups de grâce était déjà partit sur elle dans un élan précipité car elle avait pus observer le geste, elle choppa la lame de la hache avec ses crocs et la brisa en petits morceaux. Le troll stupéfait recula. Les gobelins également. Elle se releva et attaqua. L'état du château s''écoula comme le sang de ses occupants précédents. Cependant, le cris d'une des victimes de notre Adrynerius réussis enfin de compte à alerter le château avant de sombrer. Elle ne savait que faire, fuir fut son premier geste.
Elle arracha la lance de sa poitrine comme une vulgaire épine et galopa jusqu'à ce petit ruisseau ou était enterrée la déesse, puis continua après avoir entendus quelques bruits de chiens enragés peut être même de ces bestioles mi cheval mi chauve souris... elle prit une avance considérable et rattrapa son clan en quelques foulé. De la colline ou elle était, elle voyait tout ces membres allongés, dormant, se prélassant aussi bien sur le dos que sur le ventre, ou était donc le chef?
Elle hurla à plein poumon toutes les têtes se tournèrent vers sa direction.
Le chef arriva à ses cotés.
- sur les balcans, là haut, arrivèrent ceux dont l'empereur leur ont donné la permission d'offrir notre monde à ses ténèbres...
- tu y arrives donc, parler Echiviens, c'est un honneur... Bien, préoccupes toi de rassembler la horde, je vais les retarder.
Ceci pensé de mémoire à mémoire, il galopa aussi majestueusement qu'un brin d'herbe flottant au milieu du vent et aussi rapidement que le vent lui même.
Thallyas, bien qu'elle fut une femelle n'eut aucun mal à rassembler la horde, ne serais-ce son pouvoir qui se ferais ressentir parmi les membres du clan.
Une fois fait le tour des membres et mordus des retardataires, elle entreprit
son voyage vers la lune.
La terre souffrait, elle allait perdre un roi, un seigneur qui gardait les âmes des damné sous une autre forme, celle de la race des Adrynerius de Rathas. Il y en avait une demi-centaine, ce qui était peu. Par rapport aux conditions de vies qu'ils avaient: rien ne pouvaient les tuer, une arme qui les touchait restait figée quelques instant pour être absorber presqu'immédiatement par la peau dorée qui se durcissait au fur et à mesure des attaques, le bois tombait à terre et se transformait en arbre vivant.
Mais le roi , si digne, si fort et si agile lutta désespérément contre un Loputhas, cette créature mi-cheval-mi-chauve-souris.
Une morsure lui fut fatale, celle qui le toucha à la veine jugulaire.
Il s'ébranla, inerte sur le sol de sa terre bien aimé, au coté d'un tombe, celle qui devait être celle de sa cavalière: Déméter.
Les orques trolls et tout autres créatures qui avait participées au combat s'écrièrent sans doute de joie à l'idée que cette animal fut aussi inoffensif devant le Loputhas.
Et ils s'élancèrent vers cette chaire fraiche pour la dévorer à pleine dent, une chair royal, un de leurs meilleurs repas depuis leur création certainement.
Arrivé devant un cascade suivit de rochers, la horde progressa en traversant la cascade par elle même, derrière ils savaient qu'une autre population d'Adrynerius les attendait certainement.
Des grognements de contentements se faisaient entendre depuis le fond même de cette immense grotte. D'un coup, d'autres Adrynerius vinrent à leur rencontre,faisant plus de cinquante fois sa petite harde, l'autre vint à leur rencontre.
Elle devait trouver bien au plus tôt le gouverneur de cet endroit.
Thallyas rétablis le silence et l'ordre avec un rugissement digne d'un lion en rut.
- y a t-il dans ce vacarme quelqu'un pour répondre à mes convictions?
Le silence fut, un énorme mâle baraqué, d'une couleur jaunâtre écœurante vint à sa rencontre. Sa démarche saccadé prouvait sa valeur: de nombreux combats l'ayant dévalorisé et ridiculisé.
- oui. Je suis Almonich le trentième, je suis le prédécesseur de cette mauvaise graine. Que voulez vous ici dans cet endroit calme et en dehors de tous combats?
- je me présente: Thallyas, chef.. ou sous chef de cette horde précisément, je suis venue ici pour consolation et repos.
Notre chef Zabrack nous a quitté. Il est partit dans le monde de l'errance, entre ici, l'intermédiaire et le ciel et l'enfer. Pouvons-nous espérer quelques séjours dans votre preste demeure?
Almonich, écœuré par la nouvelle chef et énervé par le passage d'un Adrynerius vers un autre monde ne pus s'empêcher de découvrir ses crocs.
- toi une femelle, chef d'un troupeau. Laisse moi rire! Tu n'as pas idée dans quel pétrin tu te situe. Laisse ta horde ici, je m'en occuperais. Et deviens un simple personnage. Une femelle n'a pas assez de cran ni de force pour se mesurer à moi.
- mais vous n'êtes qu'un prédécesseur. Ou es le chef? C'est à lui que je dois lui attribuer mon bien. Pas à un personnel inférieur.
La mine de Thallyas était ironique: sa mâchoire entre ouverte ferait penser à un sourire carnassier, clownesque.
Comme si ces paroles en étaient de trop, Almonich se rua sur notre panthère avec un grognement furax. Thallyas n'eut pas le temps de riposter. Elle fut comme plaquée contre le sol, et comme il se tenait debout sur elle à lui mordre la gorge, elle ne pouvait pas bouger.
Cependant ses pattes arrières étaient libres. Elle griffa à plusieurs reprises le corps de sons assaillant.
Il n'eut comme réflexe mineur de poser sa grosse patte sur sa gorge pour mieux l'étrangler.
C'est a ce moment qu'un autre Adrynerius arriva, poussa brutalement Almonich qui glissa toujours avec Thallyas à moitié étranglé.
Debout, seul avec sa grosse gueule serrant son étaux autours du cou de sa proie, il regardait son chef, dans sa sublimissime force de vivre.
Blanc avec des auréoles grises sur son corps musclé, il ne fit pas deux fois sa manœuvre qu'Almonich, tout en déglutissant lâcha Thallyas à terre qui tomba avec un grand « boom ».
Il recula, les oreilles en arrières, queue entre ses jambes signe de soumission.
Le monarque ne bougea pas après cela. Il abaissa juste ses yeux vers la petite écroulé à terre.
Son ventre bougeais, Il se décida finalement à avancer vers la défunte.
Cou levé, droit, oreilles dressés, il s'avança tel un roi vers une princesse.
Arrivé au dos de Thallyas, il n'eut pas la peine de se baissé pour la flairé qu'elle commença à bouger, elle se redressa tant bien que mal sur ses pattes repliés.
Elle s'ébroua et se mit debout... essaya dumoins.
Une fois arrivé à ses fin, elle aperçut la bête.
Plus grand qu'elle de quelques centimètre peut-être, blanc pure, oreilles de lynx, corps d'ours allongé en félin, queue de licorne, et griffes rétracté.
Une fois sur ces quatre pattes, elle recula devant le maitre.
- maitre Adriemus nous avons besoin de vous, rejoignons nous à votre horde sauf moi, Thallyas, présumé chef de horde par Zabrack, ayant quitté cet intermédiaire pour le repos éternel des âmes.
Hélas le temps me manque pour assouvir vos autres questions, une quête me pousse à quitter cet endroit.
- Bien je vous prie donc de prendre la rivière pour aller à votre mystérieux endroit. Bon courage je prendrais soin de votre horde.
- merci au revoir!
Sur un trot précipité elle quitta la grotte.
Le soleil s'était couché,de la neige par parcelle commença a flotter sur la crinière épaisse, sa quête? Laquelle était-elle? Vaincre l'invincible? Pourquoi pas? Elle se dirigea vers le tombeau des dunes, là ou le corps de l'ancien roi reposait...
afin de pouvoir m'améliorer, pouvez vous (s'il vous plais) et ce, dès que vous voyez des fautes d'orthographes ( pour ceux qui liront ce texte... ) me dire ou elles se trouvent... et me les corriger si possible... merci ^^
sinon, votre avis m'intéresse ^^
passez de bonnes fêtes de Noël !!!